Ce dimanche après-midi, nous
sommes partis à la découverte du village de Christiania, une ville dans la
ville, symbole d’une liberté agréée par le gouvernement.
En effet, les
christianites, au nombre de 3500, ont pris place dans les anciens quartiers de
l’armée Nazi, datant de la seconde guerre mondiale. Peuplée durant 43 ans de
jeunes étudiants, d’Hippies, de squatteurs et de chômeurs, et source de
nombreux débats politiques sur l’indépendance de cette ville.
En 2013, ce terrain occupé illégalement a été reconnu par l’état. La surface, de 12 ha a été vendue aux résidents afin de répondre aux lois. Le village s’est organisé en développant son propre gouvernement, en créant 2 écoles, des magasins, une monnaie, une boulangerie et l’ensemble des structures nécessaires au bon fonctionnement d’une société. Selon le guide « certaines personnes affirment ne pas être sorties de la ville depuis une dizaine d’année ».
En 2013, ce terrain occupé illégalement a été reconnu par l’état. La surface, de 12 ha a été vendue aux résidents afin de répondre aux lois. Le village s’est organisé en développant son propre gouvernement, en créant 2 écoles, des magasins, une monnaie, une boulangerie et l’ensemble des structures nécessaires au bon fonctionnement d’une société. Selon le guide « certaines personnes affirment ne pas être sorties de la ville depuis une dizaine d’année ».
Aujourd’hui, cette zone a connu une évolution socio-professionnelle. Par
exemple, des médecins, des avocats y résident. Cependant, ce quartier fait
l’objet de multiples controverses. La consommation de stupéfiants est tolérée,
profitant à certaines bandes extérieures d’y effectuer un commerce mal sain.
Christiania est devenu une attraction touristique, attirant environ 1 000 000
de visiteurs par an.
« Vous ne pouvez pas
nous tuer ». Devise de la ville.
Jonathan lumineau et Lucas Marot
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